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Le neuromarketing


Le neuromarketing est l’application des neurosciences cognitives au marketing et à la communication. Le but de cette discipline émergente est de mieux comprendre les comportements des consommateurs grâce à l'identification des mécanismes cérébraux qui interviennent lors d'un achat ou face à une publicité.

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Le terme « neuromarketing » est apparu aux débuts des années 2000. Cette approche est née des recherches du docteur Read Montague, chercheur à l'université de Baylor (Texas). D'autres chercheurs, tant en économie qu'en gestion et marketing, avaient déjà tenté d'intégrer des données neuroscientifiques à leurs paradigmes théoriques.
L'expérimentation neurologique est souvent complexe, coûteuse et de facto réservée en priorité aux études pathologiques : les techniques les plus légères (électro-encéphalographie) sont dès lors les plus couramment utilisées.
Les biais introduits par les méthodologies expérimentales imposées par les appareils de mesure actuels limitent la pertinence des résultats obtenus, qui se limitent pour le moment à la mise en évidence de mécanismes décisionnels généraux et à la mesure de préférences spontanées.

En 2004, McLure et al. conduisent une étude aux résultats largement relayés dans les médias sur les préférences implicites et explicites de consommation entre deux marques de sodas (Pepsi et Coca-Cola). Par deux tests, le premier consistant en une dégustation de deux échantillons différents sans connaissance des deux marques, le second consistant en une dégustation de deux échantillons avec connaissance d'une des deux marques seulement (ce second test étant répété deux fois, pour les deux marques), les chercheurs mettent en évidence l'influence de la marque sur l'appréciation explicite du produit par les consommateurs. Sans connaissance des marques, ou en connaissance de la marque Pepsi, ils ne montraient statistiquement pas de préférence notable pour l'un ou l'autre des deux échantillons. Lorsqu'ils savaient être en train de boire du Coca-Cola, une nette préférence pour ce soda était exprimée. Dans le premier cas, c'est essentiellement le putamen qui était actif (valeurs gustatives, plaisir). Dans le second cas, en plus du cortex préfrontal ventromédian, l'hippocampe, le cortex préfrontal dorsolatéral, le tronc central étaient actifs, tandis que le putamen était nettement en retrait. Les deux types de réponse constituant des comportements objectifs au sens des réflexes neurologiques, cette étude mettait en évidence l'influence de la mémorisation et de la marque Coca-Cola.

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Le neuromarketing est ainsi appelé à se développer. À ce jour plusieurs études mettent en évidence le rôle important de la mémorisation dans l’acte d’achat, mais le lien entre préférences spontanées et mémoire n’a pas encore été découvert. Un des développements du neuromarketing est de donner des indications sur la manière d'améliorer la mémorisation et ainsi les préférences, ce qui suppose de quantifier efficacement la mémorisation d'actes publicitaires ou commerciaux. Toutefois, « se souvenir » n'est pas « acheter » et pour les publicitaires, l'enjeu reste d'associer à une préférence conditionnée, une intention d'achat « effective ». Un autre développement du neuromarketing se base sur la comparaison entre les effets de deux marques, de deux produits ou de deux spots de publicité. On peut ainsi voir d’une part les ressentis propres à l’objet et d’autre part ce qui le distingue de la concurrence, comme le révèle l'ouvrage Buyology – Truth and Lies About Why We Buy du consultant Martin Lindstrom à partir de résultats de la plus grande étude de neuromarketing menée de 2004 à 2007 sur 2 081 personnes. Le neuromarketing qui permet d’obtenir des réponses fiables car basées sur une multitude de travaux scientifiques a pour principal lobby l'association The Neuromarketing Science & Business Association.

Source : Wikipédia






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Le SIDA - Bickel / Burgermeister



Le site http://www.sidasante.com donne des explications claires pour comprendre que le "sida" est un concept sans aucune base scientifique réelle. Le "sida" est un ensemble de maladies réliées entre elles via une cause unique de façon complètement artificielle. Le VIH n'a jamais été isolé, les tests de séropositivé n'ont aucune valeur, les morts attribuées au SIDA ont essentiellement des causes iatrogènes (ie. causées par les traitements) dans les pays riches, ou de niveau de vie dans les pays pauvres, et les statistiques apocalyptiques sur le SIDA en Afrique sont totalement fausses.

Découvrez une nouvelle vision du SIDA déjà adoptée par plus de 600 scientifiques de par le monde, dont 2 prix Nobel de chimie.

Chacune des maladies qui sont reliées artificiellement à ce syndrome a une cause et une solution qui peuvent se comprendre et se soigner en dehors de toute psychose collective et surtout en dehors de toute origine prétendument virale de la maladie.

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La liberté de choix thérapeutique est un droit humain fondamental. Imposer un diagnostic mortel et des traitements parmi les plus toxiques de l'histoire sur la seule base d'hypothèses sans preuve est intolérable. C'est une violation inadmissible des droits de l'homme.

Une synthèse sur le sida chez onnouscachetout.com ici.

Source : r-sistons.over-blog.com








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Une vie après l'amour (1/2)

Oui, la vie continue après une rupture... ou une relation non-épanouissante à laquelle vous ne vous sentez pas (encore!) la force de mettre un terme! Comment cesser de se faire du mal, comment se reconstruire et affronter ses peurs, comment s'entourer, au lieu de se lamenter sur son sort? Et d'abord, pourquoi une rupture peut elle être si douloureuse..?


Lâcher une histoire sentimentale avec quelqu'un que vous aimez encore, ou se faire rejeter par elle, est une des plus douloureuses expériences affectives qu'un être humain puisse connaître. Rompre avec l'être aimé signifie souffrir et avoir mal; on perd l'amour qui est la forme la plus élevée de bonheur que nous puissions connaître sur Terre.
On n'imagine pas la profondeur des blessures liées à l'abandon et au rejet, même lorsqu'on est adulte, à moins d'en faire la douloureuse expérience.

Une personne peut devenir tellement prisonnière de sa fixation sur une autre personne qui la rejette, ou qui n'est pas "disponible", qu'elle se consume de rage et de désir pour lui.


Les femmes d'aujourd'hui ont beaucoup évolué sur le plan financier et professionnel, mais elles ont encore un énorme travail à faire pour devenir émotionellement indépendantes..! Beaucoup de femmes autonomes matériellement conservent des relations abusives sur les plans émotionnel et physique parce qu'elles ont peur de lâcher prise et de rester sur le carreau. Elles préfèrent s'accrocher à un homme qui les bat, les humilie ou les rejette plutôt que d'affronter leur terreur de rester seules.



Nous verrons donc comment développer vos ressources intérieures et acquérir la capacité nouvelle de lâcher prise, de façon à ne plus détruire votre vie au nom d'un amour passionné et de la peur de ne pas avoir d'homme dans votre vie.

Si vous avez la sensation d'être dans une relation à sens unique, si vous êtes en pleine rupture et que vous voulez vous sortir moralement du gouffre, alors les conseils qui suivent sont faits pour vous : vous apprendrez à vous contrôler pour ne plus courir après votre ex, vous redoublerez d'estime pour vous-même et vous ferez place neuve pour la rencontre d'un nouvel amour, quelqu'un qui sera vraiment là pour vous.



Etape 1 : rompre le cycle de la compulsion


Myriam, une jeune femme très attirante âgée de 28 ans, agent immobilier, était assise dans son appartement à fixer le téléphone. Elle avait envie d'appeler Antony, un bel homme, programmeur informatique, avec lequel elle était sortie pendant les six derniers mois. Dès, le début, elle avait pensé qu'il était parfait : charmant, ambitieux, attentionné... Après un dîner dans un restaurant très romantique, elle avait eu le courage de demander à Antony ce qu'ils allaient faire de leur avenir. 



Elle se sentit couler intérieurement lorsqu'il lui déclara qu'il ne se voyait pas du tout l'épouser. Il lui proposa de sortir avec d'autres hommes. Blessée et en colère, Myriam lui déclara qu'elle ne voulait plus continuer la relation.
Alors elle ressentit la solitude et le désespoir : soudain elle voulait être avec Antony à tout prix, même ses conditions à lui. Elle ne pouvait tout simplement pas supporter de vivre sans lui. Elle avait la sensation que tout était de sa faute, si seulement elle pouvait faire en sorte que cette conversation n'aie jamais eu lieu, peut être qu'ils seraient encore ensemble! IL FALLAIT qu'elle lui parle.

Elle composa son numéro, espérant qu'il serait chez lui, et tomba sur son répondeur. Elle raccrocha, décida d'attendre et de l'appeler un peu plus tard. Elle essaya de s'occuper en faisant du ménage, mais elle ne pouvait pas s'empêcher de penser à lui donc, elle le rappela une fois encore. A nouveau le répondeur. Elle commença à appeler toutes les 15 minutes, ou plus, pendant deux heures. Elle savait qu'elle était hors de contrôle. Comme une junkie à la recherche d'un fix. Elle ne pouvait pas supporter l'idée de ne plus jamais voir Antony.


On peut tous se reconnaître dans l'attitude de Myriam, nous avons tous traversé un jour ce scénario émotionnel, à des degrés divers. Les symptômes sont douloureusement familiers : la peur de ne plus se maîtriser, le besoin profond d'entendre encore une fois la voix de l'autre... On sait que ce comportement est irrationnel, mais on n'est plus capable de freiner l'élan qui nous pousse à appeler encore et encore. On ne sait plus quoi faire. Mais pourquoi ne pouvons-nous pas lâcher prise??

Regardons les évènements qui mènent les humains à suivre cette voie : la peur d'être abandonné est parmi les peurs les plus primitives. Pour un bébé, être abandonné signifie mourir. Un enfant ne peut pas survivre sans un adulte qui le nourrisse. Selon notre histoire personnelle, cette peur reste en nous à des degré plus ou moins élevés.


En tant qu'adultes, si nous sommes abandonnés par la personne que nous avons choisie comme source d'amour et de soutien, notre peur enfantine est à nouveau activée. Le résultat est que cette peur primitive ajoutée à la menace actuelle peut faire naître de la panique!! Et notre capacité de raisonnement peut s'en trouver Ô combien affectée!
Quand nous nous sentons abandonnés, nous faisons l'expérience de la panique de nous trouver soudainement totalement seul et rejeté. Ces sentiments douloureux vont nous pousser à nous cramponner à la relation. En effet s'accrocher à une liaison démontre qu'elle continue, puisqu'on ne lâche pas prise!
Il y a plusieurs niveaux de réactions qui vont des appels compulsifs au fait de courir à l'appartement de l'autre ou sur son lieu de travail sans prévenir... ou lui écrire des tonnes de lettres et d'emails, même si elle ne répond pas.

Si vous avez le moindre espoir de sauver votre histoire d'amour, ou si vous voulez la poursuivre telle qu'elle est en ce moment, souvenez vous bien que les comportements "accros" pousseraient n'importe qui à s'éloigner encore d'avantage! Si votre ex a des problèmes d'intimité ou de résistance à l'engagement, vous allez vite le rendre claustrophobe!




Quelle est l'attitude saine à adopter lorsque vous sentez que vous allez craquer et appeler quelqu'un qui vous a abandonné?

D'abord, donnez-vous la possibilité de reconnaître vos tensions et vos émotions. Tolérez-les jusqu'à ce qu'elles passent - et elles passeront, c'est forcé. Les sentiments sont temporaires. C'est la clé : vivre ses émotions et ne pas passer à l'acte. Au début bien sûr ça va vous prendre beaucoup d'énergie, d'autodiscipline et de travail, car retenir vos sentiments sans passer à l'action revient à contenir vos sentiments, ce qui provoquera de grandes tensions en vous.
Comme nous l'avons vu dans de précédents articles, notamment J'agis en fonction de ce que je ressens, ce dont vous avez besoin maintenant est de trouver un certain soulagement. Remarquez bien qu'écouter son ressenti et suivre ses pulsions sont deux choses différentes...

Dans un premier temps vous penserez que le fait de l'appeler va vous procurer ce soulagement dont vous avez besoin, mais songez à l'anxiété et à la douleur par laquelle vous pouvez passer s'il vous rejette, ou si vous n'avez pas la réponse que vous désirez!
 Si votre esprit est en banqueroute de mantras positifs, il vous reste toujours des actions diverses et variées pour faire diversion : 

Julie avait une liste d'amis à appeler lorsqu'elle se sentait dépassée par l'envie d'appeler son ex.
Hélène allait faire de la gym, ou bien sortait courir.
Barbara allait au cinéma, ou bien léchait les vitrines, etc...



Contenir vos pulsions ne vous empêche pas de partager vos sentiments avec d'autres personnes, au contraire! Des gens comme les amis qui ne vous jugent pas ou un groupe de soutien peuvent vous apporter une aide précieuse.

Pourquoi agir ainsi? Résister à l'envie d'appeler une personne qui vous a quittée et avec qui vous avez partagé des sentiments vous évite le risque de vous faire repousser, humilier, ou vous faire avoir de la peine une fois de plus. Chaque fois que vous êtes rejetée, vous nourrissez le sentiment de ne pas mériter d'amour et d'affronter un désespoir contre lequel il va falloir lutter encore et encore.
Et, même s'il répond à vos appels, vous aurez la sensation d'être plus proche de lui temporairement, mais bientôt l'anxiété va revenir, parce qu'il ne veut pas construire sa vie avec vous et vous retournerez au point de départ, encore plus anéantie.



Traverser la douleur de ne pas l'avoir dans votre vie peut vous donner la sensation de traverser un désert de banquise, mais, si vous tenez bon, ce sera une victoire personnelle qui vous redonnera confiance en vos ressources intérieures.

Dans le prochain article (cliquer ICI) nous verrons comment faire le deuil de cette relation non-épanouissante et guérir du rejet. Allez, courage!







Source : Quand c'est fini, c'est fini! par Rhonda Findling


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